Arthur Bauchet : « C'était fou quand on a posé pour la première fois les skis sur la piste, on avait envie de bien faire ! C'était en plus la première fois qu'on reposait les skis en compétition depuis un long moment. Tant d'émotions... ! »
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Marie Bochet : « J'ai eu une vraie émotion quand je suis rentrée dans la cabane de départ du premier entrainement de descente. Je me suis dit "ça y est, on est à Pékin !" Ça a été tellement compliqué, entre la préparation, ma blessure, les tests Covid.. C'était un vrai soulagement ».
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Chaque année, la pépinière de la FDJ Sport Factory intègre de nouveaux athlètes. Ils seront soutenus financièrement jusqu’en 2024, mais également accompagnés afin de les aider à anticiper leur après-carrière.
Pour mieux les connaitre, nous avons posé à chacun une question :
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Dans quelles circonstances as-tu commencé à pratiquer l'escrime ?
Gémima Joseph (athlétisme - sprint) : « Initialement, je souhaitais surtout faire de la gymnastique, discipline qui m’attirait beaucoup. Je suis donc allée m’inscrire dans un club avec ma mère, mais les cours se déroulaient en même temps que mes heures de classe. Elle m’a donc demandé de choisir un autre sport. Puisque j’aimais courir et que le stade était à côté de la salle de gymnastique, nous avons traversé la route et je me suis inscrite dans le club d’athlé. Onze ans après mes débuts, je me suis qualifiée pour les Jeux Olympiques de Tokyo et je me demande parfois ce qu’il se serait passé si j'avais pu m’inscrire dans le club de gymnastique ! ».
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Quelle est la performance dont tu es la plus fière et qui t'a le plus marquée ?
Lisa Barbelin (tir à l’arc) : « Le tournoi de qualification olympique, qui se déroulait en Turquie en mai 2021, a été marquant pour moi. J'ai remporté ma place pour les Jeux de Tokyo ce jour-là, c'était très fort en émotion. Je me souviens être passée par tous les états : la nuit précédente, il m'était impossible de fermer l'œil tellement le stress me rongeait de l'intérieur et m’occupait l’esprit ; puis lors de la compétition où je me suis battue jusqu'à la fin ; et enfin le moment de l'appel avec ma famille : "maman, papa, je pars aux Jeux !". Je donnerais beaucoup pour revivre ce moment. ».
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Comment as-tu commencé à pratiquer la natation ?
Emeline Pierre (para natation) : « Je pratique la natation depuis maintenant plus de neuf ans. J’ai toujours été très sportive et curieuse, et je pratiquais la natation avant mon accident. Après ce dernier, la natation a été importante pour moi dans ma rééducation et je n’ai donc jamais lâché cette discipline ! ».
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Quel(le) athlète de la FDJ Sport Factory t'inspire tout particulièrement ?
Léon Marchand (natation) : « J’admire particulièrement Johanne Defay, que j’ai découverte sur l’île de la Réunion. Je surfais avec un ami et j’arrivais difficilement à prendre une vague lorsqu’on m’a indiqué que Johanne Defay était en train de surfer au même endroit. Je l’ai donc vu surfer à quelques mètres de moi et c’était tout simplement incroyable, elle faisait ce qu’elle voulait sur la planche, elle domptait la vague, c’était très impressionnant. Depuis ce jour-là, je la suis sur les réseaux sociaux et je regarde les compétitions de surf. J’adore ce qu’elle fait, j’ai l’impression qu’elle voyage dans le monde entier pour ce sport et je trouve ça génial ! ».
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Qu'est-ce que représente pour toi le fait d'intégrer la pépinière de la FDJ Sport Factory ?
Blandine Pont (judo) : « Le fait que la FDJ Sport Factory regroupe des athlètes pratiquant différentes disciplines est une réelle chance et me permettra d’échanger et de partager avec de nombreux athlètes. Le soutien de FDJ va m’apporter davantage de sérénité dans la poursuite de mes objectifs. Se sentir accompagnée est aussi une source de motivation supplémentaire. ».
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« J’ai toujours aimé regarder les Jeux d'hiver. Certains sports sont vraiment impressionnants ! Depuis que je fais partie du collectif de la FDJ Sport Factory, je porte un regard plus attentif aux membres de la team, qui n’ont pas oublié de performer lors de ces Jeux d’ailleurs ! Si je devais pratiquer un sport d’hiver, ce serait le ski de fond. Je suis loin d’avoir la technique nécessaire mais ce qui me plait dans ce sport, c’est l’énorme condition physique qu’il faut avoir. »
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Selon le baromètre FDJ-Paris 2024 « Sport au féminin » réalisé par Kantar, la pratique des femmes progresse mais n’atteint pas les niveaux d’activité définis par l’OMS pour être en bonne santé : seulement 59 % des femmes pratiquent une activité physique et sportive au moins une fois par semaine (contre 69 % pour les hommes).
Initié en 2016 et 2018 par FDJ dans le prolongement de son programme « Sport pour Elles » en faveur du développement du sport féminin, ce baromètre permet de mesurer les évolutions de la pratique sportive et la place des femmes dans le sport en France.
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Paris 2024 et le groupe FDJ partagent un constat commun : l’ensemble de ces freins doivent être levés pour atteindre un niveau de pratique physique suffisant pour être en bonne santé car 38 % des Français sont sédentaires et la situation est encore plus alarmante pour les femmes.
FDJ et Paris 2024 lance un appel à projets pour accompagner 400 000 femmes dans leur pratique sportive en France.
Afin d’unir leurs forces pour cette cause, Paris 2024 et FDJ ont tiré les enseignements du baromètre et renforcé l’appel à projets « Impact 2024 » en créant une catégorie spécifique au développement de la pratique sportive féminine. L’objectif est d’accompagner un maximum de projets structurants qui répondent aux envies et besoins des femmes (bien-être, santé, physique), à leur situation personnelle et à leur désir de pratiquer une activité physique plus librement. Des projets sur la place des femmes dans le sport, dans les instances de gouvernance sportive ou dans les médias, seront également accompagnés.
Les candidatures pour cet appel à projets sont ouvertes depuis le 21 mars et jusqu’au 6 mai 2022 en cliquant ICI.
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Photos : ©Philippe Millereau/KMSP
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Championne du Monde indoor du 60m haies à Belgrade (Serbie) avec un nouveau record de France en 7 secondes 78
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En or au sprint classique de Falun (Suède) et décroche le petit globe du sprint
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En argent au concours de saut d'obstacles du CCI 1* de Montelibretti (Italie)
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En or à la Coupe du Monde en Super-G de Lenzerheide (Suisse)
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En or à la Coupe du Monde en pistolet 25m à vitesse au Caire (Egypte)
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En argent au 100m papillon au Golden Tour de Marseille
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En or au concours de marteau de la Coupe d'Europe des lancers à Leiria (Portugal)
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En or aux championnats d'Europe en salle à Lasko (Slovénie) et en bronze aux championnats de France en salle à Vittel
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En or sur le 400 yards 4 nages lors des championnats universitaires US (avec le deuxième temps de l'histoire sur cette distance). Il est en or également sur le 200 yards 4 nages et le 200 yards brasse
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En bronze à la coupe du monde de Henzenbach (Allemagne)
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